En cas de catastrophes naturelles, des coûts très élevés pèsent en effet sur les entreprises. Si les précédents exemples restent assez rares, des événements plus courants tels que les actes de vandalisme, des incendies, etc. peuvent également nuire fortement à une entreprise.
L’étude Regus menée au niveau mondial auprès de plus de 12 000 hommes et femmes d'affaires répartis dans 85 pays révèle qu'une importante proportion d'entreprises ne parviennent pas à prendre les précautions nécessaires et à anticiper l’imprévisible.
Ainsi, 54 % des entreprises françaises, contre 45 % au niveau mondial, n'ont pas prévu de plan de reprise d’activité destiné à remettre leurs systèmes informatiques en état de fonctionnement en moins de 24 heures. Et 55 % des entreprises à l'échelle mondiale n'ont pas de bureau de secours disponible sous 24 heures, une tendance dans laquelle s’inscrivent les entreprises françaises (56 %). En France, les sociétés du secteur de la banque-assurance semblent les mieux loties : elles sont 65% à disposer d’un plan pour remettre leurs systèmes informatiques en état de fonctionnement en moins de 24 heures et 55% à avoir un espace de travail de reprise disponible sous 24 heures. Dans le secteur du conseil, ces taux tombent respectivement à 38% et 41%.
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