Être « e » ne signifie pas être 2.0. Les acheteurs sont « e » de fait. Equipés d'outils informatiques pour sourcer, gérer les approvisionnements, négocier, suivre les contrats fournisseurs et pister coûts et risques, ils exercent leur métier à l'aide d'écrans connectés et de tableurs détaillés. Pourtant, en terme de collaboration, de partage d'informations, de mode de travail et d'organisation, les services achats semblent avoir encore été peu touchés par la vague 2.0. Serait-on à un tournant ?
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