Même vues de la plage, ou des sommets pyrénéens, les turbulences financières et boursières de ces dernières semaines ont apparu aussi vertigineuses que l’ouragan Irina. Et pas moins faciles à prévoir et maîtriser.
Quelle route ce nouveau monstre économique va-t-il emprunter (sans jeu de mots) ? A quels rebonds faut-il s’attendre ? Nul ne peut le prévoir, même à très court terme.
Ce que l’on peut prédire, c’est que cette rentrée ne ressemblera à nulle autre car les facteurs anxiogènes s’accumulent aux dessus des têtes des Etats, des entreprises, des banques, des institutions et des citoyens. Très vite, ce climat se traduira – comme un nez au milieu du visage - dans les premiers indicateurs qui jalonnent la vie médiatique et économique de tous. Déjà, on lira dans cette édition les « tensions » des délais de paiement du 2ème trimestre 2011. Dans quelques semaines, on verra aussi comment se concrétisent – dans les baromètres achats – la prudence, sinon l’inquiétude, des entreprises.
Dès lors, comment faire la rentrée – plus - belle ?